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👉 En 2026, le DIY sera plus inclusif, personnalisé et inspirant que jamais : un mouvement global où chacun invente son propre univers créatif.
Plus qu’un hobby, le Do It Yourself s’impose comme un phénomène de société, porté à la fois par le grand public et les professionnels du loisir créatif. Après le boom des années confinées, la tendance ne faiblit pas : selon le salon Créations & savoir-faire, plus d’un Français sur deux s’est initié à une nouvelle activité manuelle en 2020 (source : bpifrance-creation.fr).
À l’aube de 2026, le secteur des activités manuelles poursuit sa métamorphose autour de valeurs fortes et d’innovations inspirantes. Matériaux durables, techniques revisitées, influence des réseaux sociaux, bien-être ou encore hybridation culturelle façonnent les grandes tendances DIY à venir.
Les grands salons internationaux confirment d’ailleurs cette diversité : la saison créative 2026 oscillera entre un romantisme moderne, une créativité rebelle et un style rétro décomplexé, autant de mouvements qui reflètent nos aspirations et transforment l’univers du fait-main.
Tour d’horizon des inspirations majeures qui marqueront les ateliers créatifs en 2026 :
Face aux enjeux environnementaux, la planète s’invite désormais dans chaque atelier. L’artisanat écoresponsable connaît un essor spectaculaire : créateurs et amateurs cherchent à travailler des matériaux durables, recyclés ou de seconde main, pour limiter leur impact.
Cette conscience verte prend une forme bien concrète : le upcycling. Transformer l’existant devient un réflexe autant qu’un acte militant. Retaper un meuble vintage, coudre un tote bag à partir d’une chemise oubliée, broder des motifs sur une veste chinée… Chaque geste donne une seconde vie aux matières et confère aux objets une authenticité unique.
Dans les ateliers couture et déco, la tendance est claire :
« Les objets faits main séduisent un large public car ils procurent plaisir et fierté, tout en répondant à une aspiration écologique à créer à partir de matériaux existants », souligne Bpifrance.
L’éco-créativité se situe ainsi à la croisée du beau et du bien : elle valorise l’imagination tout en s’inscrivant dans une démarche responsable.
Cette dynamique ne se limite pas aux particuliers. Les marchés de créateurs et salons DIY mettent de plus en plus en avant des produits à faible empreinte carbone, tandis que les labels “éco-friendly” se multiplient. Preuve de cette orientation durable, le salon international Creativeworld propose depuis 2014 un programme “Ethical Style”, qui valorise les exposants engagés dans la protection de l’environnement.
Enfin, l’éco-créativité répond aussi à une logique économique. Pour de nombreux jeunes, fabriquer soi-même représente une alternative accessible : des créations de qualité, personnalisées, mais sans surconsommation.
👉 En 2026, le mot d’ordre est clair : attendre avant de jeter, et fabriquer plutôt qu’acheter. Le DIY vert s’impose comme un mode de vie autant qu’une tendance créative.
Paradoxalement, l’avenir du DIY s’écrit… en se nourrissant du passé. Les techniques artisanales d’antan connaissent une véritable renaissance, portées par une nouvelle génération avide d’authenticité. Tricot, broderie, céramique, vannerie : autant de savoir-faire remis au goût du jour grâce à des designs contemporains et des approches innovantes.
En 2025 déjà, le patchwork avait retrouvé des couleurs avec la tendance modern quilt, graphique et audacieuse. La broderie, elle, quittait son cadre textile pour s’inviter sur le papier ou le carton. En 2026, cette vague « heritage » s’amplifie :
La jeune génération réapprend avec enthousiasme ce que savaient nos aînés : crochet (y compris dans sa version japonaise ludique amigurumi), tissage de tapis façon tufting, vannerie réinventée… Tradition et modernité se complètent.
« Les artistes modernes combinent souvent des techniques classiques avec des outils contemporains, créant des œuvres qui honorent le passé tout en embrassant l’avenir. »
Cette redécouverte s’accompagne d’un métissage créatif inédit. Internet facilite la circulation des idées, et les créateurs n’hésitent plus à explorer d’autres cultures :
Les thèmes favoris restent la nature sauvage et les voyages lointains, preuves que l’évasion reste une source d’inspiration majeure pour les créateurs de demain.
Cette hybridation nourrit un terrain de jeu infini : un napperon en dentelle chiné devient un accessoire bohème, une blouse cousue main marie tissu africain et coupe vintage européenne.
Les foires et expositions encouragent ce mouvement, valorisant le travail d’artisans et d’artistes locaux pour préserver ces savoir-faire précieux à l’ère numérique.
Imprimantes 3D, découpes laser, machines Cricut… Les outils high-tech ne sont plus réservés aux ateliers industriels. Ils s’installent désormais dans nos salons et bureaux, ouvrant un champ inédit de possibilités créatives.
Cette rencontre entre digital et savoir-faire traditionnel est l’une des grandes tendances actuelles. Grâce à des technologies devenues accessibles, chacun peut transformer son espace en mini-fablab. Découper avec précision du vinyle, graver un motif au laser sur du bois, imprimer un objet design en 3D : autant de tâches autrefois fastidieuses, réalisables aujourd’hui en quelques clics.
En 2025, plus de 78 000 boutiques d’art créatif dans le monde utilisaient Shopify, intégrant déjà des applications de création numérique et de génération de contenu par IA. Cette hybridation s’accélère :
L’IA fait déjà son entrée dans les ateliers. Les créateurs s’en servent pour générer des motifs originaux, tester des palettes chromatiques inédites ou personnaliser un projet en temps réel.
Certaines marques proposent même des plateformes interactives où l’utilisateur peut :
Tutoriels vidéo à la demande, cours en réalité augmentée, communautés d’entraide en ligne : la technologie abaisse les barrières d’entrée. Débutants comme experts accèdent à une formation continue et inclusive, 24h/24.
Pour autant, la technologie ne fait pas disparaître l’âme artisanale. Elle l’amplifie. Un vase imprimé en 3D peut être peint à la main, une broderie traditionnelle d’abord dessinée sur tablette, puis réalisée sur tissu.
👉 En 2026, le digital donne des ailes à la créativité, mais c’est toujours l’imagination et la main de l’artisan qui tiennent le pinceau final.
@joy.cadeaux Juste toi, tes pinceaux et zéro bruit… Qui d’autre trouve ça aussi relaxant ? 🎨 #asmrart #asmrpainting #acrylicpouring #pouringart #diyrelax
♬ son original - Joy Cadeaux
Impossible d’évoquer les tendances DIY sans parler des réseaux sociaux. TikTok, Instagram et Pinterest dictent désormais une grande partie des modes créatives. Chaque jour, des milliers de tutoriels, reels et épingles dévoilent de nouvelles idées qui peuvent devenir virales en l’espace d’un week-end.
Cette visibilité planétaire a propulsé des pratiques autrefois confidentielles sur le devant de la scène. Le tufting, par exemple, doit son succès à des vidéos courtes et hypnotiques montrant la laine jaillir du pistolet. Les “tiny worlds”, ces mini-mondes minutieusement assemblés, ont conquis les internautes fascinés par la patience et le souci du détail.
Les réseaux sociaux ont vu éclore une génération de créateurs DIY stars. Ces passionnés partagent leurs œuvres, fédèrent des communautés de fans et collaborent avec des marques de loisirs créatifs. Beaucoup lancent même leurs propres gammes de produits.
Le phénomène est massif : le marché du fait-main se renouvelle sans cesse pour suivre la cadence des tendances en ligne – broderie sur jean, résine époxy, couture zéro déchet…
👉 Rien qu’en couture, on recensait récemment plus de 1 700 jeunes influenceuses modernisant l’image de cette pratique jugée vieillotte il y a encore quelques années.
Résultat : coudre ou tricoter est redevenu « cool » pour les moins de 30 ans, avec des vidéos cumulant des millions de vues.
Au-delà des influenceurs, les communautés en ligne jouent un rôle central :
👉 Le DIY version 2.0, c’est un atelier mondial sans frontières, où chaque vidéo peut inspirer un créateur à l’autre bout du globe.
Au-delà des objets produits, la pratique du DIY répond de plus en plus à une quête de bien-être.
« Les loisirs créatifs se transforment en pratiques thérapeutiques, axées sur la détente et la pleine conscience », note un cahier de tendances.
Peindre, modeler, tricoter, colorier… Ces gestes manuels agissent comme une véritable méditation active. On se plonge dans l’instant présent, on stimule ses sens, et peu à peu, les tensions s’apaisent.
Adultes comme adolescents se tournent vers des pratiques relaxantes :
Ces loisirs “slow” favorisent la concentration et procurent un sentiment de calme durable.
Les recherches abondent : plusieurs études établissent un lien entre pratique artistique régulière et meilleure santé mentale. L’Organisation mondiale de la Santé, après avoir analysé plus de 900 publications, conclut que l’art contribue réellement au bien-être physique et psychique.
La démocratisation de l’art-thérapie en est la preuve : livres spécialisés, ateliers créatifs et même applications mobiles invitent à utiliser la création pour gérer stress, anxiété ou troubles de l’humeur.
En 2026, le DIY mettra encore davantage l’accent sur cette dimension thérapeutique. Plusieurs tendances actuelles l’illustrent déjà :
Les professionnels du secteur l’ont bien compris : salons et boutiques mettent désormais en avant ce bénéfice immatériel. Le salon Créations & savoir-faire, par exemple, a ouvert des espaces “Creative Escape” invitant à expérimenter la peinture intuitive ou le modelage libre – simplement pour le plaisir du lâcher-prise.
👉 Créer fait du bien. C’est peut-être là la plus grande réussite du DIY contemporain : offrir un antidote aux maux modernes, renouer avec des gestes simples et tangibles, et redécouvrir la joie de faire pour soi.
Durabilité, traditions, technologie, communautés, bien-être… Derrière toutes ces tendances, une constante se dessine : l’affirmation de la personnalisation et de la créativité individuelle.
En 2026, plus que jamais, le DIY sera l’expression d’un style de vie propre à chacun.
« Le DIY n’est plus seulement un passe-temps – il reflète nos goûts, notre style et nos valeurs personnelles », observe Claudia Herke, experte du bureau de tendances bora.herke.palmisano.
Le client-créateur est au centre. Chacun veut réaliser des objets uniques : décorer sa maison selon ses propres inspirations, offrir un cadeau fait main et pensé pour un être cher, ou simplement affirmer son style.
Cette recherche de singularité va de pair avec une inclusivité accrue. Le DIY n’est plus réservé à une catégorie : hommes, femmes, enfants, seniors, urbains ou ruraux… tout le monde s’y met. Les clichés genrés volent en éclats :
Même la mode accompagne ce mouvement : chemises d’homme brodées de fleurs, vestes de costume fusionnées en manteaux upcyclés unisexes… Les frontières esthétiques se brouillent au profit d’une créativité sans étiquettes.
Selon les experts du salon Creativeworld, trois styles majeurs cohabiteront :
👉 Trois esthétiques différentes, mais un même message : liberté, individualité et durabilité.
Et si, finalement, la grande tendance DIY de 2026 était celle-ci : redonner du sens et de la beauté à notre quotidien, une création à la fois.
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Des activités créatives pour petits et grands (de 0 à 77 ans !), parfaites pour déconnecter des écrans et passer de vrais moments ensemble.
JOY!, c’est du fun, de la couleur, et un brin de folie pour dépoussiérer le loisir créatif !